Pour l’éternité
Tu es tout pour moi… Tu es toujours là lorsque j’en ai le plus besoin…Tu es la chose la plus précieuse à mes yeux et tu le resteras pour l’éternité…
Combien de mots, de phrases pourrais-je écrire en pensant à toi ? Combien de pages me reste-t-’il avant que les souvenirs ne me manquent pour décrire ce que tu es ?
Souvent, je repense à ce que nous avons vécus avant d’en arriver là… Lorsque je rentre à la maison, tu es là et je n’ai qu’une seule envie, celle de me serrer dans tes bras. Quand tu es heureuse ou que tu es triste, je le suis aussi et lorsque tu as mal, moi aussi je souffre. Te voir pleurer m’est insupportable. C’est comme si j’étais un ange et qu’on m’arrachait les ailes.
À ces moments-là, c’est moi qui te prends dans mes bras et te murmure à l’oreille des mots que tu es la seule à avoir déjà entendu venant de moi…
Alors oui, je t’aime… Je t’aime plus que n’importe quoi, que n’importe qui, à un point qui dépasse ton imagination. Parce que nous étions ensemble, je pouvais sourire. La vie nous a séparées pour nous réunir de nouveau et je ferai tout pour que ton chemin demeure aux côtés du mien. Car tu es et seras à jamais dans mon cœur…
Un simple texte ne peut décrire ce que je ressens au fond de moi, bien que, j’en suis certaine, nous partageons le même sentiment, car tu es et demeureras à jamais gravée dans mon cœur…
Peu importe le temps qu’il nous reste à passer ensemble. Et même si nous devons être séparées, je penserai toujours à toi. Car tu es mon âme, non, tu es mon cœur et le sang qui coule dans mes veines. Mais avant tout, tu es la seule… La seule qui me fait me sentir heureuse et auprès de laquelle, je suis heureuse.
Alors, ces quelques vers te sont dédiés…
Toute seule, dans l’obscurité
C’est à toi que j’ai pensé…
Mais si tu t’éloignes, si tu n’es plus là,
Combien de mots parviendront jusqu’à toi ?
Et si je ne parvenais pas à l’attraper ?
Cette lumière qui désormais est si loin…
Et si jamais elle disparaissait,
S’effaçant au loin
Je cours, occultant la douleur,
Craignant que ce ne soit qu’un leurre
J’aimerais tant que tu sois là,
Pour me serrer dans tes bras…
Et si je ne parvenais pas à l’attraper ?
Cette lumière qui désormais est si loin…
Mais si je l’observais,
J’arrêterais de courir, car cet éclat, c’est toi !
Ce que je cherchais à attraper
Était resté près de moi
Et ce qui m’avait toujours éclairée
C’était… toi…